Samoens 2015


Jour 5, mercredi 22

        En ce mercredi un peu couvert Gégé fit un biplace avec une fillette tandis que d’autres se firent leur plouf du matin. À l’atterro, M. Et Mme Bourcier accueillirent leur fille chérie qu’ils venaient de voir voler pour la première fois. La fierté se lisaient sur leurs sourires.

    Après un lunch au snack habituel, les premières gouttes commencèrent à tomber et Coco eut une riche idée : aller se manger une glace dans ce fameux salon de thé qui fait des glaces maison à se damner. C’est gourmand une Gaz’aile ! Ça peut pas dire non à une petite glace. Nous fûmes 10 à débarquer à la Jaÿsinia tandis que dehors, il se mît à pleuvoir des cordes. Nico commanda la plus grosse glace !

    Comme c’était la journée sportive de la semaine, quelques deux heures plus tard, nous nous retrouvions chez Dominique à la résidence des Oursons pour prendre l’apéro ( et accessoirement une douche chaude, le kiffe !).

    JB resta silencieux quelques minutes sur le balcon avant de s’enfuir à grandes enjambées, pris d’une violente crise d’hyper-glycémie. Il fallait qu’il brûle toutes ces calories ingurgitées. On le vit partir sous la pluie pour le retrouver 3ou 4 heures plus tard…un peu calmé.

    Ce soir là, nous fûmes 9 à table, nous fîmes un festin du reste de pâtes accompagné d’une omelette et d’une salade. En dessert, deux somptueux et délicieux gâteaux d’anniversaire !! Et oui, Laurent fêtait ce jour ses 50 printemps !

    On peut dire qu’il fût gâté ! Pour marquer le coup, nous nous sommes cotisés pour lui offrir un beau pistolet à eau jaune ! Je crois bien qu’il était ému…sans compter le journal du jour ( brillante idée de Gégé, là aussi !) et des cartes postales du meilleur goût savoyard.

    Le tout arrosé d’un bon champagne…je me demandais si JB n’allait pas repartir en courant dans la nuit pour éliminer ces nouveaux et indécents apports en glucide…

    Vers minuit, Philippe et Dominique prirent le chemin des Oursons. Je les vis tous deux dans leur K-Way s’enfoncer dans les hautes herbes puis disparaître derrière les branchages, sous une pluie battante et à la lueur vacillante de leurs frontales. Sans doute la dernière image qu’on garderait d’eux avant qu’ils ne se fassent dévorer par le Grand Fourchu des Bois et les moustiques.

    

Laisser un commentaire